Souvenirs de dessins animés

J’ai toujours aimé les dessins animés. Il n’y a pas d’effets spéciaux, juste une histoire. J’ai grandi à l’époque de Goldorak, Albator, Cobra… J’ai beaucoup regardé les dessins animés de Walt Disney puis les dessins animé japonais comme NAusicaa. J’apprécie la diversité des sujets abordés dans les mangas japonais. Certains des résumés abordent le début et la fin des séries. La fin est rarement de ce que je préfère. Je suis plus attirée par le chemin suivi par l’auteur pour nous y amener, l’évolution de personnages qui apprennent et changent tout du long. Je ne citerai pas Naruto, One Piece, Hunter x Hunter, Black Cover, My Hero Academia, on les suit tous avec plaisir, le personnage principal est toujours attachant, un peu colérique, exprimant ses émotions sans retenue, entouré de personnages très différentes, prenant un nombre incoryable de gamelles, devenant toujours plus fort, et ne supportant pas l’injustice. Il est souvent peu doué mais concrétisent ses rêves par la force de son travail et de son obstination. Il existe toujours un personnage qu’on préfère et auquel on peut s’identifier. Je ne sais pas s’il existe un dessin animé de ce type à chaque génération, un peu comme Harry Potter a marqué la sienne, c’est l’impression que cela me donne. Ces héros ne font pas de compromis entre leurs idéaux et leurs actions, quelque soit l’adversaire qui se pose devant eux. C’est le cas de Demon Slayer. Le héros voit sa soeur devenir vampire mais se bat becs et ongles pour la protéger malgré le danger qu’elle représente. La notion de bien et mal est souvent claire même si les personnages principaux ont tous pour trait de caractères tolérance et mansuétude. J’ai rarement vu la fin des séries. Je suis plus intéressé par l’idée initiale que la répétition presque sans fin des épisodes.